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Love him madly - Hannah Davids.

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MessageSujet: Love him madly - Hannah Davids. Love him madly - Hannah Davids. EmptyVen 16 Juil - 20:12

DAVIDS, HANNAH

feat Abbey Lee Kershaw.



Love him madly - Hannah Davids. 35hnyu9
(c) Guardianangel.
Interview exclusive de DAVIDS Hannah !

Groupe demandé : Band Hero.

Age : Vingt-trois ans.
Date & Lieu de naissance : Le premier juin mille neuf cent quatre-vingt-sept, à Spring Valley, dans le Nevada, aux Etats-Unis.
Nationalité : Américaine.
Métier/Activité : Chanteuse.
Taille : Un petit mètre soixante-cinq.
Poids : Cinquante kilos.
Statut civil : En couple.
Extrait de casier judiciaire : Arrêtée alors qu'elle tentait de faire un sitting toute seule pour la sauvegarde du vieux peuplier du parc de San Francisco et pour avoir libéré les poules et les lapins des fermes environnantes.



Interview • Par Diana P. Stinger


« Bonjour et bienvenue au siège de San Francisco Chronicle ! Vous êtes ici pour l'article, c'est cela? Bien très bien, suivez-moi. Voilà, installez-vous là et mettez vous à l'aise, la petite stagiaire vous apportera un café... Et bien mademoiselle allez-y, ne restez pas plantée là ! Bien, revenons à nos moutons. Voilà alors dans cette rubrique, nous vous demandons d'écrire un récit à propos de vous, votre histoire, ce que vous êtes. N'hésitez pas, racontez-nous tout ce que vous voulez, faites-le sous la forme d'un article, d'un récit, d'une interview ou que sais-je encore. Mais dites-vous bien que nos lecteurs sont curieux et que tout ce que vous voulez bien dire est bon à prendre pour eux. Ah et il nous faudrait quarante à cinquante lignes, ce serait l'idéal. Bon allez, vous laisse, prenez votre temps, vous avez la semaine pour rédiger votre texte. Et surtout, pas d'hésitations, contactez-moi en cas de problème. »

Comme c'est gentil à vous de bien vouloir m'interviewer! Je dois bien avouer que tout ce côté tralala de star ne fais pas encore partie de mes habitudes. Je vous ai fait un panier de cookies au chocolat pour vous remercier. Attention, je n'ai utilisé que des produits bios, les autres produits polluent votre corps de façon insidieuse, croyez moi, il vous faut faire attention!
Je dois bien avouer qu'il m'est toujours assez difficile de parler de mon histoire. On est jamais vraiment objectif en ce qui concerne notre vie je trouve, mais je vais essayer, c'est bien parce que c'est vous et que vous êtes belle et gentille et que....

Je n'aime pas trop parler de mon passé, je pense que vous comprendrez pourquoi. Pour tout vous dire je n'en parle jamais et je ne suis même pas certaine que même Léopold connaisse tous les moindres détails de mon enfance. Comment, je ne vous ai pas encore parlé de Léopold?! Voila qui est étonnant! Leopold c'est mon âme soeur, cet alter égo que beaucoup passent leur vie à chercher, sans nécessairement le trouver d'ailleurs, ce qui est triste. Moi j'ai eu plus de chance, je l'ai trouvé alors que je suis encore jeune et c'est fantastique. Vous savez sans lui je ne sais pas ce que je serais devenue. Il est comme une ancre qui retient un bateau à la dérive... Oh oui bien sur, commençons par le commencement si vous préférez. Je reparlerais de Léopold en tant voulu.

Je suis née il y'a de cela vingt-trois ans dans la Spring Valley. Je n'y suis pas restée très longtemps car mon père nous a vite fait déménager, ma mère, ma soeur et moi dans la capitale mondiale du jeux et du vice, j'ai nommé Las Vegas. Mon père est riche vous savez, très riche. Trop riche, cela joue sur son karma et c'est mal. Très mal même si vous voulez mon avis! Il possède un des casinos les plus célèbres de la ville et je suis certaine que c'est ce métier, cette ville, cet univers qui ont ternis l'aura de son âme. Il est devenu stressé et grincheux aussi. C'est mauvais pour le karma cet endroit, c'est moi qui vous le dit! Et comme dit Monsieur Peuplier, il faut fuir telle la peste les endroits que vous savez être mauvais pour vous. C'est pour ça que dès que j'ai finis le lycée, je suis partie loin de cet enfer.
Alors oui, je suis bien consciente que pour beaucoup l'enfer à un autre goût et une autre définition, avec la pauvreté, la drogue, la prostitution et, aberration ultime, le non respect des bases élémentaires du Feng-Shui. Mais finalement l'enfer c'est juste un concept qui est différent selon les idéaux, les envies et les choix de chaque individus. Alors oui, c'est vrai qu'à quatorze ans je faisais déjà mon shopping dans des boutiques aussi luxueuses que Gucci ou Yves St Laurent, qui étaient d'ailleurs fermées à l'occasion pour que mes amies et moi ne soyons pas dérangée par la plèbe. Oui, il est vrai que cette immense limousine noire qui s'arrêtait devant mon école était là rien que pour moi, pour me ramener dans l'immense demeure familiale que nous possédions dans un quartier privé, près du terrain de golf et du yacht club. Certes, j'ai vécu dans l'opulence la plus totale, portant des habits, des accessoires coutant l'équivalent de deux mois de salaire pour toute personne normale. Certes je buvais plus de Dom Perignon en un mois de soirée que vous dans toute une vie et ce, dès l'âge de quinze ans. Certes. Seulement, il s'agit là de mon propre petit enfer voyez-vous.

J'ai découvert vers seize ans ce en quoi j'avais vraiment la foi, quels étaient mes véritables idéaux. Oui, cela peut paraitre un peu stupide, voir complètement d'ailleurs mais du jour au lendemain, cette fourrure que j'adorais auparavant arborer sur mes épaules me dégoutait, tout comme ces plats en sauce que j'adorais. Non la viande n'est pas nécessaire à l'homme pur survivre, c'est juste le seul moyen qu'à trouvé l'homme pour détruire les tentatives de rébellion contre la dominance totalement injustifiée des hommes sur l'empire animal. Ne me regardez pas comme si j'étais folle, c'est vrai, ils se préparent, c'est Monsieur Peuplier qui me l'a dit! Et il a toujours raison, c'est un cousin de Grand Mère Feuillage. Et croyez moi que ce jour là, je serais du bon côté!
Mais revenons plutôt à mon récit, car c'est bien pour cela que nous sommes ici n'est-ce pas? J'ai donc peu à peu rejeté tout ce qui me reliait à cette vie de péchés et de honte, honte que je ressent toujours face à mes jeunes années de débauche et de perdition. Vous comprenez à présent pourquoi je n'en parle que très rarement? La Hannah de cette époque, ce n'était pas la vraie Hannah, je ne savais pas encore qui j'étais et je préférais suivre aveuglément mes amis et leurs code plutôt que me faire une véritable personnalité. C'est plus facile, je suis humaine, je suis faible, comme tout le monde. C'est peut être pour cela que ma soeur ne me parle plus, la citadine qui règne en elle ne doit pas supporter l'idée de vivre à la campagne sans tout le confort moderne et surtout sans la moindre petite boutique Chanel. Clairement, nous qui étions les meilleures amies du monde, nous voila séparées par un précipice sans fond.
Il n'y a pas que ma soeur qui m'a finalement rayée de sa vie. Ma mère s'est vite trouvée dépassée par mon côté hippie de première heure, elle qui se trouve bloquée dans les carcans conventionnels de notre société. Elle a fait un effort de compréhension, au début du moins mais j'avais beau tenté de lui expliquer mon point de vue, elle ne pouvait comprendre. Mais ce qui l'a surtout énervée, c'est lorsque que j'ai arrêté de manger de la viande! L'ancienne "redneck" qui ne jure que par la viande rouge et saignante s'est alors réveillée et s'en est trouvée choquée. Ne plus manger de la viande, voila bien la pire des aberrations pour cette femme!
Quand à mon père... Oh mon père, il n'était de toute façon pas beaucoup à la maison alors il n'allait pas en plus constater le moindre changement chez les membres de sa famille pensez donc!


Je suis partie de mon château doré de Las Vegas et j'ai laissé de côté ma petite tranquille et banlieusarde dès le lendemain de la cérémonie de remise des diplômes de fin de lycée. J'avais parfaitement planifié ce jour depuis des semaines, seule, sans mettre personne au courant de mon plan. Même les seules amies qu'il me restait étaient encore loin de se douter de ce qui se tramait dans ma petite tête blonde. J'avais tout organisé, j'avais un but précis, ce voyage pour moi était l'occasion d'un retour aux sources, de découvrir qui j'étais, d'une communion forte et intense avec les origines du monde et la nature. Je n'avais aucune limite de temps, je n'avais absolument pas prévu de billet de retour, je voulais prendre mon temps, me découvrir et découvrir le monde. Mes pas m'ont conduit tout d'abord en Afrique, continent maudit aux différents peuples riches d'une histoire et d'une culture que je leur enviais. Et surtout, ils ont des arbres fantastiques là bas, plein d'histoire, ils en ont vu des choses! J'aimerais tellement être un arbre vous savez... Puis je suis partie en Asie, traversant la Thaïlande, l'Indonésie ou encore la Chine. Pour m'arrêter quelques temps au Tibet. C'est dans un temple bouddhiste tibétain que j'ai rencontré Léopold.
Léopold, il est belge, il a une âme magnifique, il est talentueux et je l'aime. Nous sommes fait pour être ensemble, notre rencontre ne s'est pas faite fortuitement dans un temple quelconque. Non, c'est le destin qui nous a amené tous les deux dans ce temple, notre histoire devant débuter sous les meilleurs hospices. Léopold, il m'est indispensable. Je suis convaincue que sans lui, il y aurait bien longtemps que j'aurais quitté cet univers qui ne me convient que si peu, pour l'univers coloré de ces cigarettes rigolotes que j'aime a fumer de temps en temps. C'est un précieux cadeau que nous a fait là la nature je trouve, nous devrions d'autant plus la vénérer et la remercier! Mais revenons à Léopold. Il n'a pas fallut longtemps avant que nous ne soyons plus que des amis. D'ailleurs l'avons-nous simplement été? Je ne le sais pas, je l'ai aimé de suite à vrai dire. C'est naturel entre lui et moi, après tout c'était fait pour arriver... Il est ma bouée de sauvetage, mon sauveur, celui qui m'aide à trouver la force d'affronter toutes les mondanités auxquelles nous devons faire face depuis que nous avons transposé le duo que nous formons à la ville sur scène.

J'ai toujours aimé chanter et écrire des textes. Que le matin ceci dit, je trouve mon inspiration dans la rosée du matin, l'aurore et la fraiche senteur du jour naissant. Je m'assois sous les branches protectrice de mon peuplier fétiche, mon ami de toujours et j'écris. J'écris jusqu'à ce que la lumière du jour se fasse trop vive et qu'elle tue ainsi mon inspiration.
Léopold est un pianiste doué et un véritable poète, qui touche mon âme à chaque fois qu'il compose. Il est doué, si doué que parfois je pleure en écoutant ses mélodies. C'est si beau, si pur que ça ne peut que toucher même la plus dure des âmes. Si nos âmes se sont immédiatement connectées, il en fut de même pour aura artistique et nous formons à présent un duo solide aussi bien sur scène que dans la vie de tous les jours. Nos albums à tendance follement folk se vendent bien et nous parcourons le monde pour donner concerts et entretiens. Mais tout cela me déplait fortement. Je n'aime pas cette notoriété que nous connaissons et pour tout vous avez je ne sais même pas comment on est arrivé à vendre des disques et êtres connus. Cette notoriété me fait peur car elle me ramène à mon passé, celui aux multiples et effrayants démons que son la richesse et la cupidité, l'égoïsme et le narcissisme. Heureusement qu'il est là, que je peux compter sur lui car il y'a bien longtemps que j'aurais déjà vendu mon âme et celui de monsieur Peuplier... Je suis humaine, je suis faible.
Nos concerts font montre d'une véritable communion et d'une véritable osmose entre nos deux âmes. Lui, magnifique derrière son piano et moi, entrant dans cette lente transe derrière mon micro. Nous vivons et profitons de chaque instants que nous passons l'un à côté de l'autre. Dans une atmosphère intimiste et quelque peu mystique, nous offrons et partageons avec notre publique tout l'amour que nous éprouvons l'un pour l'autre. Nous les oublions presque, consacrant chaque chansons à un moment qui nous uni.


Je me souviens très bien du jour où nous avons décidé de vivre à Strawberry Fields. C'était le lendemain d'un concert à guichets fermés à Vancouver, au Canada. C'est en lisant le journal du matin, assise dans l'herbe encore humide de la rosée du jour, habillée d'une simple chemise de nuit de coton blanc que j'ai découvert ce petit village. J'ai tout de suite aimé cet endroit, même si je n'y avais jamais mis les pieds. Rien que le nom me plaisait: Strawberry Fields. Avouez que c'est follement chou un champ de fraise non? Moi j'adore, c'est tout petit et rouge et délicieux! On peut en faire des tartes mais personnellement je préfère les manger nature, sans un quelconque accompagnement. Rien n'est assez noble pour accompagner ces divines petites créatures.
J'ai couru pieds nus pour réveiller Léopold et lui montrer l'endroit qui convenait parfaitement à nos valeurs, nos idées, nos aspirations. C'était le lieu idéal pour se préserver de cette célébrité et de toutes ces mondanités qui me faisaient, et qui me font toujours aussi peur...
Il n'aura pas fallut grand chose pour le convaincre lui aussi. Tellement peu de choses que nous sommes partis pour San Francisco le jour même.

C'était il y'a.... deux ans, peut être plus, qu'en sais-je? Je suis de celles qui pense que pour vivre heureux, il faut vivre sans contrainte et pour moi le temps en est une. Parce que le temps, si on prend le temps de s'y intéresser, ça rend les gens stressés et lunatique et c'est très mauvais pour le karma tout ça, croyez moi! C'est Monsieur Peuplier qui me l'a dit! C'est bien pour cela que nous possédons ni montres, ni horloges, ni cadrans solaires ou quoi que ce soit qui puisse indiquer l'heure.
Nous nous sommes construit un nid douillet, où nous vivons heureux tous les deux. Enfin, c'est Léopold qui l'a construit, moi je me suis contentée d'en faire un lieu agréable à vivre et intime, à notre image. Quand j'ai fais la rencontre de Monsieur Peuplier, il m'a offert deux colliers, un pour moi et un autre pour Léopold. Il s'agit de deux petits bourses en tissus avec à l'intérieur un peu de son écorce. C'est pour nous protéger, pour nous accorder une vie heureuse loin des nuages de paillette que nous promet la vente de nos disques.

C'est pour nous protéger de tous ces démons qui nous entourent et qui nous menacent, mon ancre et moi.




« Bien et pour conclure, je vous demanderai de passer par un petit rituel que nous avons lors de nos interviews au San Francisco Chronicle. Vous connaissez sûrement le questionnaire de Proust... Et bien quelques-unes des questions vous attendent sur la table juste-là, si vous vouliez bien le remplir en partant, ce serez très aimable à vous ! »

Mon principal trait de caractère : Je suis hyper-sensible.
La qualité que je préfère chez un homme : La discrétion et la culture.
La qualité que je préfère chez une femme : L'indépendance.
Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : Qu'ils me pensent folle et qu'en plus ils aiment ça!
Mon principal défaut : Etre un peu trop dans mon monde? Compter un peu trop sur Leopold?
Mon occupation préférée : Chanter, écrire et communiquer avec la nature.
Mon rêve de bonheur : Vous voyez la petite maison dans la prairie? Bah voila!
Ce que je voudrais être : Un arbre!
La couleur que je préfère : Le vert. Et le jaune aussi!
La fleur que j'aime : Mais j'aime toutes les fleurs moi! Elles sont toutes belles et dignes d'intérêt et d'amour et de respect et de considération et...
Mes poètes préférés : Léopold? Et sinon Jim Morrison et Janis Joplin.
Mes héros et héroïnes dans la fiction : Grand mère Feuillage.
Ce que je déteste par-dessus tout : Les mondanités et la viande.
Le don de la nature que je voudrais avoir : La nature m'a déjà offert tout ce dont j'ai besoin, c'est pour ça que je l'aime et que je la respecte et...
Comment j'aimerais mourir : Dans l'herbe, avec Leopold, sous un peuplier plein de feuilles vertes.
Ma devise :



Attendez ! Je vois que vous avez amené un camarade avec vous ! Mais enfin, présentez-le nous, nos lecteurs sont très curieux de savoir qui est l'éminence grise derrière un personnage si haut en couleurs !

Votre nom ou pseudonyme si vous préférez gardez l'anonymat, le public comprendra : Jolene.
Et votre âge ? 21 ans.
Ah et comment avez-vous atterri ici mon brave ? Bin... Toujours pas même hein I love you
Vous pensez venir souvent à Strawberry Fields vous ? Aussi souvent que faire se peut!
Un petit mot de la fin ? Hello, i love you.
Et vous n'avez pas vu un code affiché sur la porte en entrant ?
Spoiler:








Hannah Davids


Hannah Davids

Messages : 2
Grains de maïs : 4
Date d'inscription : 16/07/2010
Age : 35

EN SAVOIR PLUS
Âge du personnage: 23 ans.
Métier / Activité: Chanteuse folk.
Amis, amours, emmerdes :


Love him madly - Hannah Davids. Vide
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MessageSujet: Re: Love him madly - Hannah Davids. Love him madly - Hannah Davids. EmptyVen 23 Juil - 11:20

J'ai enfin terminé mes chéris I love you
Hannah Davids


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EN SAVOIR PLUS
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